Jocelerme Privert

Bienvenue sur le Site web de Jocelerme Privert

Message du Président Barack Obama au Président Provisoire Jocelerme Privert à l’occasion du 213ème anniversaire de l’Indépendance d’Haïti-

Monsieur le Président Provisoire: Au nom des Etats-Unis d’Amérique, je félicite le peuple haïtien à l’occasion de la commémoration du 213ème anniversaire de l’Indépendance de votre nation ce 1er janvier.   Haïti a une place historique dans la lutte commune pour l’indépendance dans l’hémisphère occidental.  Les Etats-Unis continuent d’apporter leur ferme support à l’avenir de la démocratie et aux nombreuses opportunités économiques en Haïti. Sincèrement, Barack Obama1er janvier 2017 Mesaj Prezidan Barack Obamapou Prezidan Pwovizwa Jocelerme Privertnan okasyon 213zyèm anivèsè endepandans peyi Dayiti Chè Prezidan Pwovizwa:Nan non peyi Etazini, map felisite pèp ayisyen an nan okasyon komemorasyon 213zyèm anivèsè endepandans nasyon nou an jodia-a ki premye janvye a.  Ayiti gen yon plas istorik nan lit komin ki te mennen pou lendepandans nan emisfè oksidantal la.  Peyi Etazini ap kontinye bay gwo sipò li pou lavi demokrasi ak opòtinite ekonomik nan peyi Dayiti. Sensèman, Barack Obama Premye janvye 2017

Privert, chef de gang, on aura tout entendu !

Privert, chef de gang, on aura tout entendu ! Miami, 17 Février – Le mot gang comme tout autre n’a pas qu’une seule signification. Il veut dire groupe d’assassins et de kidnappeurs. C’est le gang armé à la Vitelhomme, Ti Lapli, Izo 5 Sekonn, Ti Makak et autres. Mais le mot gang a comme tout autre vocable français, également un sens figuré. Surtout dans le slang (créole) québécois si coloré et proche de l’actuel premier ministre du Canada, « regardez-moi venir cette tête de cochon et son ‘gang’ ». C’est peut-être, mais nous ne jurons de rien, dans cette dernière acception du terme qu’il faut comprendre la sanction annoncée par le gouvernement canadien contre l’ex-sénateur et président provisoire d’Haïti, Mr. Jocelerme Privert. Dans ce sens-là, nous pensons que oui, Mr. Privert a son groupe de fidèles donc son ‘gang’. Ceux-là qui ont monté avec lui l’opération qui a donné le gouvernement provisoire qui dirigera le pays pendant une année (2016-2017) et réussi la reprise des présidentielles, dans le plus grand calme, pour déboucher sur la victoire du candidat du parti PHTK, Jovenel Moïse. Mais avec un modus : ces élections-là ont été reprises contre la volonté de ladite ‘communauté internationale’. Vous allez voir. Reprenons : Premier tour des présidentielles le 25 octobre 2015.Les résultats donnent vainqueur Jovenel Moïse, 49 ans, le candidat du PHTK et le choix du président sortant Joseph Michel Martelly, suivi de Jude Célestin du parti LAPEH. Cependant à peine 30% des électeurs ont fait le déplacement et on parle de fraudes massives. La formation d’une commission indépendante de vérification des procès-verbaux est réclamée. Mais – et c’est la dernière fois qu’on verra les parties haïtiennes trouver une solution entre elles et sans l’avis des puissances internationales – une solution politique est concoctée entre le parlement et le pouvoir exécutif – Michel Martelly est toujours président de la république mais doit laisser le pouvoir le 7 février 2016 pour respecter l’ordre constitutionnel et aussi pouvoir éventuellement se représenter 5 années plus tard) : le résultat c’est une présidence provisoire de la République confiée au président du sénat, le sénateur Jocelerme Privert, avec pour mission d’organiser dans une ambiance plus calme, le second tour des présidentielles. C’est le président Martelly lui-même qui passe l’écharpe officielle au cou de son successeur provisoire.De nouvelles présidentielles sont organisées une année plus tard, le 20 novembre 2016, qui renouvellent pratiquement le schéma de l’année précédente. En effet c’est à nouveau le candidat du PHTK qui l’emporte. Et Jovenel Moïse qui prête le serment constitutionnel le 7 février 2017.Cela à la plus grande satisfaction du Core Group (grandes ambassades internationales) dont, lors de l’investiture au parlement haïtien, le 7 février 2017, les représentants se sont confondus en félicitations non pas tant pour l’élu, tout timide dans un manteau présidentiel bien trop ample pour ses épaules, que pour celui qui, à voir les chaleureux compliments dont il est l’objet ce jour-là, avait su manigancer tout cela : Michel Martelly. Or le ‘Blanc’ a un moment eu très chaud.En effet il avait refusé d’admettre la reprise des élections présidentielles. De l’OEA (Organisation des Etats Américains) aux pays membres de la Communauté économique européenne ou Marché commun européen, tous s’étaient mis en croix contre l’organisation de nouvelles présidentielles.Et c’est là qu’entre en jeu ce que le premier ministre du Canada Justin Trudeau vient peut-être de désigner comme le ‘gang’ de Privert !Quelle est l’arme principale de la communauté internationale et qui lui permet de maintenir sa domination dans notre pays ?Réponse : le monétaire. It’s only the money ! Le financement de tout. Y compris des élections. Alors que celles-ci sont supposées être l’expression même de la souveraineté nationale. Eh oui.Mais le président provisoire Jocelerme Privert, ex-contrôleur des finances publiques, et qui a fait toute sa carrière dans ce secteur-là, sut trouver les millions nécessaires dans la caisse publique elle-même pour organiser les nouvelles présidentielles en décembre 2016. Et l’obstacle international a pu être contourné. Mais c’est aussi là une manifestation évidente de la souveraineté nationale comme tous auront compris.Or malgré que nos grands ambassadeurs aient semblé apparemment comblés par le résultat du scrutin lors de l’investiture du 7 février 2017, la leçon cependant ne fut donc pas oubliée.Est-ce cela un chef de gang ?Oui il a fallu une certaine coordination de plusieurs secteurs gouvernementaux, parlementaires et civils (ou mieux, civiques) pour y arriver.Peut-être aussi la dernière manifestation à date d’une ‘certaine souveraineté nationale’.Est-ce que se mettre ensemble pour réaliser un projet national, communautaire ou commun c’est ça un gang ?Dans ce cas il n’y a pas plus gang que le gouvernement du premier ministre Justin Trudeau lui-même. Marcus Garcia, Haïti en Marche, 17 Février 2023

QU’EST-CE DONC QUI FAIT COURRIR LE PETIT TRUDEAU ?

QU’EST-CE DONC QUI FAIT COURRIR LE PETIT TRUDEAU ? Qui est Jocelerme Privert ? Vous avez sans doute eu l’occasion de lire l’éditorial de Marcus : « Privert, chef de gang, on aura tout entendu !Personnellement, je viens de le parcourir et je comprends très bien sa réaction. Je n’ai pas eu les mêmes relations avec le président Privert, mais je ressens la même indignation, car j’ai eu de nombreuses occasions de rencontrer l’ex-Directeur Général de la DGI quand j’étais moi-même Directeur Général de l’INARA. La première fois, ce fut à l’occasion d’une grande cérémonie au Palais National. Je venais tout juste de prendre mon poste, et je suis arrivé quelque peu intimidé, parcourant la grande salle déjà occupée par une foule d’invités, quand j’entendis quelqu’un m’appeler. C’était un couple d’amis qui m’invitait à profiter d’une place libre. Et j’étais à peine assis quand j’entendis Jacques appeler quelqu’un d’autre en me disant : « Tu ne connais pas Jocelerme ; il vient tout juste, comme toi, d’être nommé Directeur Général, à la DGI. »Ce fut ma première rencontre avec Jocelerme Privert. Par la suite, nous nous sommes vus assez souvent, normal, quand il s’agit de celui qui a la mission de réaliser une réforme agraire et celui qui règne sur la gestion du domaine de l’État. Et je dois reconnaitre que c’est moi qui ai tiré le plus grand bénéfice de cette relation.Privert avait une fine connaissance du dossier foncier et chaque fois que je me trouvais face à une situation que je ne comprenais pas bien, c’est lui qui m’expliquait le pourquoi du comment et m’aidait à prendre la décision correcte.Mais cela allait plus loin ; il était lui aussi convaincu que la répartition de la terre était une grande injustice, et disposé à appuyer l’INARA dans sa mission de mettre fin à cette situation. Je citerai un cas. Durant les dernières années de la dernière décennie, la région du Nord-Est a connu une ruée sur les terres de l’État. Et c’est ainsi que j’ai été au courant d’une série de promesses d’attribution de terre à des individus de tous acabits, promesses faites par le responsable de la DGI au Cap Haïtien. Je suis donc allé voir Privert et lui ai exposé la situation. Réaction de Jocelerme : « Ne t’inquiètes pas ; de telles attributions n’ont aucune valeur sans ma signature. » J’ai donc pu rassurer mes informateurs. Je pense à une autre affaire qui m’a beaucoup amusé. Le jour même où l’annonce de ma nomination a été rendue publique, j’ai été invité à participer à une réunion de « bailleurs de fonds » (les paysans disent « baryè de fon ») qui se tenait au bureau de la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture). Et c’est là que le représentant de la FAO m’a informé que son Organisation était disposée à financer une étude sur la situation foncière en Haïti, histoire de donner au Ministère de l’Agriculture des éléments pouvant servir à élaborer des projets de réforme agraire.Cela a pris un certain temps, mais finalement un accord est passé entre le Gouvernement Haïtien, la FAO et la BID (banque interaméricaine de développement), qui avait offert sa participation. Au moment de faire le premier « payroll », mon administrateur m’informe que les techniciens refusent de recevoir leur chèque car, sur la feuille de paye, il est fait état d’un prélèvement pour l’impôt sur le revenu, or « ils sont des techniciens qui travaillent pour une organisation internationale et, à ce titre, n’ont pas à payer l’impôt sur le revenu ».J’étais pris au dépourvu ; je suis donc allé à la DGI et ai présenté le cas à Jocelerme Privert. Il est devenu tout rouge. Je l’entends encore me dire : « Tout individu, ayant son domicile fiscal en Haïti et imposable à l’impôt sur le revenu se doit de le payer » Je lui demande de me donner cela par écrit et il fait rédiger une correspondance adressée à moi, et que je transmets à mon administrateur.Mes techniciens n’ont pas apprécié, mais c’est sur mon administrateur qu’ils ont passé leur mauvaise humeur. Le proverbe haïtien le dit bien : « Dan pouri gen fòs sou bannan mi ».Si le petit Trudeau veut en savoir un peu plus sur l’ex-Président Jocelerme Privert et corriger les « erreurs » de ses informateurs, je suis à sa disposition. Bernard Ethéart Février 2023

Errare humanum est, perseverare diabolicum.<>

Coup de tonnerre dans un ciel sans nuages :Cela fait une semaine déjà que l’opinion publique nationale et internationale, a reçu comme un coup de tonnerre dans un ciel sans nuages, l’annonce de sanctions prises par le Gouvernement canadien contre l’ancien Président provisoire de la République d’Haïti, M. Jocelerme Privert. A en croire les autoritéscanadiennes, ce dernier serait de mèche avec les gangs armés qui sèment le deuil dans le pays depuis une dizaine d’années, au point de faire de l’intervention étrangère une solution incontournable. On a souvent entendu M. Privert dire qu’il ne voit point comment on pourrait ramener l’ordre dans le pays sans une intervention militaire internationale. Laquelle intervention, ici et là on supplie le Canada d’en prendre le leadership ! Ironie du sort, le couperet allait tomber sans considération aucune sur sa tête. On ne sait toujours pas par quel tour de prestidigitation cela a pu arriver… Par contre, avec un minimum d’empathie, on peut s’imaginer la souffrance et l’amertume de Jocelerme Privert. Voir son nom associé à la pègre, la racaille, les rebuts de la société ; se faire cataloguer de tout ce qui est contraire à ses principes ; c’est voir les cieux tomber sur sa tête. L’homme jovial et exubérant, atout de suite perdu goût à la vie. Sa voix est devenue tout à coup rauque d’indignation. Sans ces amis prévoyants qui se sont accourus pour le consoler, nul ne sait ce qui serait advenu. Il y exactement un siècle, un Ministre du Président Jean-Pierre Boyer se laissa mourir pour avoir été accusé publiquement etinjustement de félonie. Haïti a toujours eu de nombreux hommes intègres ; encore plus nombreux sont ceux qui savent garder une limite même dans le mal. Privert ne jouissait pas d’une bonne santé. On le savait. On aurait pu éviter à sa convalescence cette douleur physique et cette torture morale. << L’homme est un apprenti et la douleur est son maitre. Nul ne se connaît tant qu’il n’a pas souffert>>, disait Alfred de Musset. Mais, il y a de ces souffrances inutiles et injustifiées qui produisent la rage au cœur et la honte au visage. Cette souffrance infligée au petit paysan des Nippes n’a point de sens. N’est-ce pas Friedrich Nietzsche qui disait : << Le non-sens de la souffrance, et non la souffrance, est la malédiction qui a pesé jusqu’à présent sur l’humanité>>. Mais, en Haïti, ‘’ce pays difficile’’, à toute souffrance, il y a toujours un sens : celle-ci peut avoir des motivations politiques politiciennes. << Il y a différentes manières d’assassiner un homme : par le pistolet, par l’épée, par le poison ou par l’assassinat moral. C’est la même chose, au définitif, excepté que ce dernier moyen est le plus cruel.>> dixit Napoléon Bonaparte.Notre chère Haïti a toujours été une terre de politiciens machiavéliques. A défaut de coup d’Etat, des coups bas !Et le Canada dans tout cela !Parmi toutes les puissances occidentales, le Canada est celle qui jouissait en Haïti de la meilleure renommée. La terre de l’érable ne s’est jamais associée à des entreprises coloniales, postcoloniales ou néocoloniales. Qu’il s’agisse des anglophones ou (encore moins) de nos cousins culturels Québécois. Ces bonnes relations haitiano- québécoises tiennent peut-être d’une similitude culturelle et politique : deux peuples francophones de l’Amérique perdus dans un océan de nations anglophones et hispanophones. D’où cette grande sollicitude des Québécois pour Haïti où dans les 1970 et 1980 les touristes du Québec, avaient leurs propres hôtels : Domaine Idéal et Auberge du Québec, à Carrefour. D’autant que les Québécois ne sont en rien des ingrats : aujourd’hui encore ils vantent les apports des professionnels haïtiens au développement du Québec durant les décennies 1960-1980. Les Québécois sont un peuple juste et courageux. Sous le leadership du grand Pierre Elliot Trudeau, le Canada fut le premier Etat occidental à renouer des relations avec Cuba qui croulait sous le poids de l’Embargo suite à la chute du Mur de Berlin. J’ai toujours du respect et de l’admiration pour le Canada. A l’Ecole Nationale du Canada sise à la Deuxième Cité de Saint-Martin (Delmas 3), où j’ai fait mes études primaires entre 1972 et 1976, on montait deux drapeaux et entonnait deux hymnes nationaux chaque matin : l’emblème haïtien et l’emblème canadien. De ces années de ma jeunesse jusqu’à aujourd’hui, aucun comportement d’unGouvernent canadien ne m’a porté à le regretter ! Qu’il soit Libéral, qu’il soit conservateur ! Le jour du coup d’Etat du 30 Septembre 1991 ayant renversé le premier Président élu démocratiquement en Haïti, le Premier Ministre conservateur canadien Sir Brian Mulroney fut déterminant pour porter le Président américain Georges Bush à ne pas reconnaître le putsch. Rugissant comme un lion, Mulroney avait déclaré à la presse qu’il allait tout de suite appeler son homologue Bush. Pourtant, Mulroney était conservateur et la victime Jean-Bertrand Aristide, un libéral-progressiste-gauchiste ! Rien ne saurait illustrer laprobité canadienne.Le Canada peut toujours pécher, errer, se tromper de bonne foi, comme c’est le cas dans toute entreprise humaine. <<Errare humanum est ! >>. Mais, il n’y aurait jamais dans leur pensée ni la méchanceté ni la scélératesse haïtienne. Privert ne le mérite pas ! Des amis du Président Privert, nombreux de ses anciens collaborateurs durant ses 40 ans de carrière dans l’administration publique haïtienne, pensent qu’il pourrait être l’un des meilleurs fils du pays à pouvoir y ramener l’ordre et redonner espoir à ce pays plus que meurtri. Ils s’activaient quelque peu parce l’ancien Président leur avait dit : << Je ne suis pas encore intéressé ; mais si arriviez à me donner la masse critique nécessaire, alors là ce serait différent.>>. Privert n’est peut-être pas un saint ; mais l’homme n’a rien de si méchant pour jeter tant de panique parmi ses éventuels concurrents et amis. Ami de tous, on a vu comment son gouvernement provisoire avait pu intégrer toutes les composantes de la vie nationale : des Lavalassiens tombeurs des Duvaliéristes en 1991, et des gens du Groupe des 184 et de la Convergence Démocratique tombeurs des Lavalassiens en 2004 (du Gouvernement où il était ministre de l’Intérieur), siégeaient en 2016 côte à côte, tant au sein de son Gouvernement que

Jocelerme Privert, un modèle par excellence pour les jeunes

Jocelerme Privert, né le 1er février 1953 à Petit Trou de Nippes, a intégré la fonction publique, à titre d’inspecteur-assistant-comptable à la Direction Générale des Impôts, ci-devant l’Administration Générale des Contributions, le 1 er octobre 1979. Au sein de cette institution, il a occupé différentes fonctions telles chef de section, chef de service, directeur central et finalement celles de Directeur Général. Sa nomination en 2001, au poste de Secrétaire d’Etat aux Finances, va luiouvrir la voie à une enrichissante et exceptionnelle carrière politique, qui va le conduire, à occuper, successivement, les fonctions de Ministre de l’Intérieur et des Collectivités Territoriales, de Sénateur de la République et jusqu’à la magistrature suprême de l’Etat, en tant que Président de la République, chef de l’Etat. Le passage de Jocelerme Privert à ces différents niveaux du secteur public, fait de lui un modèle de serviteurpublic à même d’inspirer tous ceux qui aspirent à occuper les plus hautes fonctions de l’Etat. Cette longue expérience et cette parfaite maîtrise des structures de l’administration publique haïtienne, lui vaut d’être vu et considéré comme, l’acteur politique le plus expérimenté, des deux dernières décennies, en matière d’administration, de gouvernance et de politiques publiques.D’ailleurs, au cours de sa courte présidence, il a a prouvé qu’il est un vrai homme d’Etat, disposant d’assez de compétences et de maturité politiques pour mener, à bon port, la barque nationale. Ceux qui ont approché et côtoyé l’ancien Président Jocelerme Privert, témoignent, qu’il est un homme droit, de cœur et de caractère, profondément attaché à son pays et à son peuple. Il ne manifeste ni rancune, ni rancœur voire chercher à se venger de ceux qui ont causé tant de traumatismes et préjudices matériels, moraux, psychologiques et sociaux à lui et à sa famille. Les autorités politiques, policières et juridiques, les prétendus défenseurs des droits de l’homme qui, par méchanceté, lâcheté et cupidité, ont procédé à son arrestation, maintenu en détention pendant plus de deux ans, et cherché, par le mensonge et la désinformation, à le détruire politiquement, doivent avoir honte aujourd’hui de leur forfait et même regretter cette flagrante injustice qui lui a été infligée. Le progrès et le bonheur de son peuple, restent le principal mobile de ses actions et activités politiques, peu importe, les ingratitudes des uns et des autres lesquelles lui ont valu tant de vicissitudes, de déboires, d’injustices et de persécutions.Le pouvoir politique, selon sa vision, se justifie par le besoin de service à la communauté. Il doit être recherché dans l’unique objectif de satisfaire les aspirations légitimes de la population, en termes de bien-être matériel, social et culturel. S’il y montre un certain intérêt, ce n’est pas qu’il en soitaccro au pouvoir ou motivé par les avantages et privilèges qu’il y procure. C’est, plutôt, par souci de servir et d’apporter sa contribution à la matérialisation de cette noble cause.Son élection le 14 février 2016, à la présidence provisoire du pays, ne l’a pas grisé. Bien au contraire, il a fait ce qu’était sa principale mission. Sa priorité, pour l’essentiel, se résumait à créer les conditions indispensables, à la poursuite du processus électoral et remettre le pays sur la voie de la stabilité politique et institutionnelle. En dépit des nombreuses contraintes et difficultés qu’il a eues à rencontrer sur son parcours. Qui ne se rappelle pas les annonces de manifestations nocturnes, les distributions d’armes et d’argent dans les quartiers populaires, les récurrentes attaques d’hommes armés contre les installations policières,les entreprises commerciales, les hôtels et les institutions bancaires. Ces actions criminelles de déstabilisation politique, savamment, orchestrées contre son administration, ont été, concoctées, annoncées et, publiquement, revendiquées par les plus hautes autorités du gouvernementprécédent. Envers et contre tous, il a rempli sa mission. Tel qu’il s’était engagé, un président, constitutionnellement, élu a été investi dans ses fonctions le 7 février 2017. L’ancien Président Privert n’est pas un homme de slogans. La première république noire du monde, à ce carrefour historique, a besoin d’être gouvernée par des hommes et des femmes capables et mus par le souci du bien commun. C’est à ce prix que notre patrie, puisse, irréversiblement, tourner le dos à cette pauvreté dégradante qui déshumanise son peuple. Le bonheur, auquel aspirent, légitimement, nos compatriotes, requiert que le pays retrouve la voie de la stabilité politique, de la paix sociale, de la sécurité des vies et des biens. Haïti a besoin de se montrer déterminée à assurer de l’éducation et de la capacitation de sa jeunesse, à promouvoir, encourager, attirer et surtout protéger les investissements générateurs d’emplois durables et de richesse, pour s’engager, définitivement, sur la voie du progrès économique, social et culturel, les problèmes d’Haïti sont au cœur des préoccupations et soucis de l’ancien Président Jocelerme Privert. Il ne cesse, dans ses rencontres et interventions publiques, de rappeler que la principale richesse d’Haïti est son peuple. C’est dans l’union et la concorde fraternelle entre tous ses fils et toutes ses filles et la mise en commun de toutes ses forces vives, que viendra sa renaissance. Canaan, la terre promise, est de l’autre côté dudésert. Faisons-nous l’effort de le traverser. Peuple haïtien, mes chers compatriotes, ne croyons pas dans les slogans, mais réfléchissons comment nous allons développer ensemble notre beau pays, laissons de côté l’égoïsme et la haine. Haïti est notre bien commun à nous. Nous n’avons pas d’autre cieux, ni d’autres terres. Nous sommescondamnés à y vivre. Armons-nous du courage, mettons-nous ensemble, mettons un instant, au placard, nos différends, nos divergences, nos rancœurs. Travaillons ensemble à recréer l’espoir pour nos enfants, notre jeunesse et notre peuple. L’ancien président Jocelerme Privert est un homme vrai et qui, en toute circonstance, dit ce qu’il pense. Peu importe le prix. C’est un modèle et un exemple d’homme, de fonctionnaire, de professionnel et de serviteur public, pour toutes les générations.Félicitations Son Excellence. Si le mensonge nous tue, la vérité nous sauve. Richemond Shinel.11/08/2022.

Jocelerme Privert, un modèle par excellence pour les jeunes

Jocelerme Privert, un modèle par excellence pour les jeunes Jocelerme Privert, né le 1er février 1953 à Petit Trou de Nippes, a intégré la fonction publique, à titre d’inspecteur-assistant-comptable à la Direction Générale des Impôts, ci-devant l’Administration Générale des Contributions, le 1 er octobre 1979. Au sein de cette institution, il a occupé différentes fonctions telles chef de section, chef de service, directeur central et finalement celles de Directeur Général. Sa nomination en 2001, au poste de Secrétaire d’Etat aux Finances, va luiouvrir la voie à une enrichissante et exceptionnelle carrière politique, qui va le conduire, à occuper, successivement, les fonctions de Ministre de l’Intérieur et des Collectivités Territoriales, de Sénateur de la République et jusqu’à la magistrature suprême de l’Etat, en tant que Président de la République, chef de l’Etat. Le passage de Jocelerme Privert à ces différents niveaux du secteur public, fait de lui un modèle de serviteurpublic à même d’inspirer tous ceux qui aspirent à occuper les plus hautes fonctions de l’Etat. Cette longue expérience et cette parfaite maîtrise des structures de l’administration publique haïtienne, lui vaut d’être vu et considéré comme, l’acteur politique le plus expérimenté, des deux dernières décennies, en matière d’administration, de gouvernance et de politiques publiques.D’ailleurs, au cours de sa courte présidence, il a a prouvé qu’il est un vrai homme d’Etat, disposant d’assez de compétences et de maturité politiques pour mener, à bon port, la barque nationale. Ceux qui ont approché et côtoyé l’ancien Président Jocelerme Privert, témoignent, qu’il est un homme droit, de cœur et de caractère, profondément attaché à son pays et à son peuple. Il ne manifeste ni rancune, ni rancœur voire chercher à se venger de ceux qui ont causé tant de traumatismes et préjudices matériels, moraux, psychologiques et sociaux à lui et à sa famille. Les autorités politiques, policières et juridiques, les prétendus défenseurs des droits de l’homme qui, par méchanceté, lâcheté et cupidité, ont procédé à son arrestation, maintenu en détention pendant plus de deux ans, et cherché, par le mensonge et la désinformation, à le détruire politiquement, doivent avoir honte aujourd’hui de leur forfait et même regretter cette flagrante injustice qui lui a été infligée. Le progrès et le bonheur de son peuple, restent le principal mobile de ses actions et activités politiques, peu importe, les ingratitudes des uns et des autres lesquelles lui ont valu tant de vicissitudes, de déboires, d’injustices et de persécutions.Le pouvoir politique, selon sa vision, se justifie par le besoin de service à la communauté. Il doit être recherché dans l’unique objectif de satisfaire les aspirations légitimes de la population, en termes de bien-être matériel, social et culturel. S’il y montre un certain intérêt, ce n’est pas qu’il en soitaccro au pouvoir ou motivé par les avantages et privilèges qu’il y procure. C’est, plutôt, par souci de servir et d’apporter sa contribution à la matérialisation de cette noble cause.Son élection le 14 février 2016, à la présidence provisoire du pays, ne l’a pas grisé. Bien au contraire, il a fait ce qu’était sa principale mission. Sa priorité, pour l’essentiel, se résumait à créer les conditions indispensables, à la poursuite du processus électoral et remettre le pays sur la voie de la stabilité politique et institutionnelle. En dépit des nombreuses contraintes et difficultés qu’il a eues à rencontrer sur son parcours. Qui ne se rappelle pas les annonces de manifestations nocturnes, les distributions d’armes et d’argent dans les quartiers populaires, les récurrentes attaques d’hommes armés contre les installations policières,les entreprises commerciales, les hôtels et les institutions bancaires. Ces actions criminelles de déstabilisation politique, savamment, orchestrées contre son administration, ont été, concoctées, annoncées et, publiquement, revendiquées par les plus hautes autorités du gouvernementprécédent. Envers et contre tous, il a rempli sa mission. Tel qu’il s’était engagé, un président, constitutionnellement, élu a été investi dans ses fonctions le 7 février 2017. L’ancien Président Privert n’est pas un homme de slogans. La première république noire du monde, à ce carrefour historique, a besoin d’être gouvernée par des hommes et des femmes capables et mus par le souci du bien commun. C’est à ce prix que notre patrie, puisse, irréversiblement, tourner le dos à cette pauvreté dégradante qui déshumanise son peuple. Le bonheur, auquel aspirent, légitimement, nos compatriotes, requiert que le pays retrouve la voie de la stabilité politique, de la paix sociale, de la sécurité des vies et des biens. Haïti a besoin de se montrer déterminée à assurer de l’éducation et de la capacitation de sa jeunesse, à promouvoir, encourager, attirer et surtout protéger les investissements générateurs d’emplois durables et de richesse, pour s’engager, définitivement, sur la voie du progrès économique, social et culturel, les problèmes d’Haïti sont au cœur des préoccupations et soucis de l’ancien Président Jocelerme Privert. Il ne cesse, dans ses rencontres et interventions publiques, de rappeler que la principale richesse d’Haïti est son peuple. C’est dans l’union et la concorde fraternelle entre tous ses fils et toutes ses filles et la mise en commun de toutes ses forces vives, que viendra sa renaissance. Canaan, la terre promise, est de l’autre côté dudésert. Faisons-nous l’effort de le traverser. Peuple haïtien, mes chers compatriotes, ne croyons pas dans les slogans, mais réfléchissons comment nous allons développer ensemble notre beau pays, laissons de côté l’égoïsme et la haine. Haïti est notre bien commun à nous. Nous n’avons pas d’autre cieux, ni d’autres terres. Nous sommescondamnés à y vivre. Armons-nous du courage, mettons-nous ensemble, mettons un instant, au placard, nos différends, nos divergences, nos rancœurs. Travaillons ensemble à recréer l’espoir pour nos enfants, notre jeunesse et notre peuple. L’ancien président Jocelerme Privert est un homme vrai et qui, en toute circonstance, dit ce qu’il pense. Peu importe le prix. C’est un modèle et un exemple d’homme, de fonctionnaire, de professionnel et de serviteur public, pour toutes les générations.Félicitations Son Excellence. Si le mensonge nous tue, la vérité nous sauve. Richemond Shinel.11/08/2022.