Jocelerme Privert

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Jocelerme Privert, un modèle par excellence pour les jeunes

Jocelerme Privert, né le 1er février 1953 à Petit Trou de Nippes, a intégré la fonction publique, à titre d’inspecteur-assistant-comptable à la Direction Générale des Impôts, ci-devant l’Administration Générale des Contributions, le 1 er octobre 1979. Au sein de cette institution, il a occupé différentes fonctions telles chef de section, chef de service, directeur central et finalement celles de Directeur Général.
Sa nomination en 2001, au poste de Secrétaire d’Etat aux Finances, va luiouvrir la voie à une enrichissante et exceptionnelle carrière politique, qui va le conduire, à occuper, successivement, les fonctions de Ministre de l’Intérieur et des Collectivités Territoriales, de Sénateur de la République et jusqu’à la magistrature suprême de l’Etat, en tant que Président de la République, chef de l’Etat. Le passage de Jocelerme Privert à ces différents niveaux du secteur public, fait de lui un modèle de serviteur
public à même d’inspirer tous ceux qui aspirent à occuper les plus hautes fonctions de l’Etat.
Cette longue expérience et cette parfaite maîtrise des structures de l’administration publique haïtienne, lui vaut d’être vu et considéré comme, l’acteur politique le plus expérimenté, des deux dernières décennies, en matière d’administration, de gouvernance et de politiques publiques.
D’ailleurs, au cours de sa courte présidence, il a a prouvé qu’il est un vrai homme d’Etat, disposant d’assez de compétences et de maturité politiques pour mener, à bon port, la barque nationale.
Ceux qui ont approché et côtoyé l’ancien Président Jocelerme Privert, témoignent, qu’il est un homme droit, de cœur et de caractère, profondément attaché à son pays et à son peuple. Il ne manifeste ni rancune, ni rancœur voire chercher à se venger de ceux qui ont causé tant de traumatismes et préjudices matériels, moraux, psychologiques et sociaux à lui et à sa famille. Les autorités politiques, policières et juridiques, les prétendus défenseurs des droits de l’homme qui, par méchanceté, lâcheté et cupidité, ont procédé à son arrestation, maintenu en détention pendant plus de deux ans, et cherché, par le mensonge et la désinformation, à le détruire politiquement, doivent avoir honte aujourd’hui de leur forfait et même regretter cette flagrante injustice qui lui a été infligée.

Le progrès et le bonheur de son peuple, restent le principal mobile de ses actions et activités politiques, peu importe, les ingratitudes des uns et des autres lesquelles lui ont valu tant de vicissitudes, de déboires, d’injustices et de persécutions.
Le pouvoir politique, selon sa vision, se justifie par le besoin de service à la communauté. Il doit être recherché dans l’unique objectif de satisfaire les aspirations légitimes de la population, en termes de bien-être matériel, social et culturel. S’il y montre un certain intérêt, ce n’est pas qu’il en soit
accro au pouvoir ou motivé par les avantages et privilèges qu’il y procure.
C’est, plutôt, par souci de servir et d’apporter sa contribution à la matérialisation de cette noble cause.
Son élection le 14 février 2016, à la présidence provisoire du pays, ne l’a pas grisé. Bien au contraire, il a fait ce qu’était sa principale mission. Sa priorité, pour l’essentiel, se résumait à créer les conditions indispensables, à la poursuite du processus électoral et remettre le pays sur la voie de la stabilité politique et institutionnelle. En dépit des nombreuses contraintes et difficultés qu’il a eues à rencontrer sur son parcours.
Qui ne se rappelle pas les annonces de manifestations nocturnes, les distributions d’armes et d’argent dans les quartiers populaires, les récurrentes attaques d’hommes armés contre les installations policières,
les entreprises commerciales, les hôtels et les institutions bancaires. Ces actions criminelles de déstabilisation politique, savamment, orchestrées contre son administration, ont été, concoctées, annoncées et, publiquement, revendiquées par les plus hautes autorités du gouvernement
précédent. Envers et contre tous, il a rempli sa mission. Tel qu’il s’était engagé, un président, constitutionnellement, élu a été investi dans ses fonctions le 7 février 2017.

L’ancien Président Privert n’est pas un homme de slogans. La première république noire du monde, à ce carrefour historique, a besoin d’être gouvernée par des hommes et des femmes capables et mus par le souci du bien commun. C’est à ce prix que notre patrie, puisse, irréversiblement, tourner le dos à cette pauvreté dégradante qui déshumanise son peuple.
Le bonheur, auquel aspirent, légitimement, nos compatriotes, requiert que le pays retrouve la voie de la stabilité politique, de la paix sociale, de la sécurité des vies et des biens. Haïti a besoin de se montrer déterminée à assurer de l’éducation et de la capacitation de sa jeunesse, à promouvoir, encourager, attirer et surtout protéger les investissements générateurs d’emplois durables et de richesse, pour s’engager, définitivement, sur la voie du progrès économique, social et culturel, les problèmes d’Haïti sont au cœur des préoccupations et soucis de l’ancien Président Jocelerme Privert. Il ne cesse, dans ses rencontres et interventions publiques, de rappeler que la principale richesse d’Haïti est son peuple. C’est dans l’union et la concorde fraternelle entre tous ses fils et toutes ses filles et la mise en commun de toutes ses forces vives, que viendra sa renaissance. Canaan, la terre promise, est de l’autre côté du
désert. Faisons-nous l’effort de le traverser.
Peuple haïtien, mes chers compatriotes, ne croyons pas dans les slogans, mais réfléchissons comment nous allons développer ensemble notre beau pays, laissons de côté l’égoïsme et la haine. Haïti est notre bien commun à nous. Nous n’avons pas d’autre cieux, ni d’autres terres. Nous sommes
condamnés à y vivre. Armons-nous du courage, mettons-nous ensemble, mettons un instant, au placard, nos différends, nos divergences, nos rancœurs. Travaillons ensemble à recréer l’espoir pour nos enfants, notre jeunesse et notre peuple.
L’ancien président Jocelerme Privert est un homme vrai et qui, en toute circonstance, dit ce qu’il pense. Peu importe le prix. C’est un modèle et un exemple d’homme, de fonctionnaire, de professionnel et de serviteur public, pour toutes les générations.
Félicitations Son Excellence. Si le mensonge nous tue, la vérité nous sauve.


Richemond Shinel.
11/08/2022.